Concert 1 – Lettres d’un voyageur
Clémence Danvy, soprano
Emilie Callesen, Emmanuel Coppey, violon
Evan Mut, alto
Noé Natorp, violoncelle
Chloé Lucas, contrebasse
Jean-Baptiste Doulcet, piano
Liszt et Sand ont en communt l’humanisme social et religieux prôné par Félicité de Lammenais, écrivain, prêtre et philosophe d’une grande influence ; autant de valeurs de fraternité qui s’incarneront dans leurs œuvres. Pour les deux amis, qui se dédieront mutuellement des textes importants et partageront nombre d’idées (ainsi Sand écrira à Liszt ; Oui, la musique, c’est la prière, c’est la foi, c’est l’amitié, c’est l’association par excellence…), l’art n’est qu’un moyen, certes privilégié, d’aller vers Dieu comme vers les hommes. « J’aime Franz, c’est une portion de mon propre sang. » George Sand
Au bord d’une source
Les cloches de Genève
(Album d’un voyageur S.156 (1837) – Premier livre : impressions et poésies)
Un soir dans la montagne Mélodie d’Ernest Knop – Nocturne
Trois airs suisses S.155bis (1836)
Comment disaient-ils S.276 (1842)
Oh quand je dors S.282 (1842)
Enfant si j’étais roi S.283 (1844)
S’il est un charmant gazon S.284 (1844)
La tombe et la rose S.285 (1844)
Mélodies sur des poèmes de Victor Hugo
—– entracte —–
Tristia (1837, rev.1880) S.378c
Transcription de la Vallée d’Obermann pour violon, violoncelle et piano (Les Années de Pèlerinage – Première année – la Suisse)
Malédiction pour piano et quintette à cordes S.120 (1833)
(Orgueil, raillerie, pleurs-angoisses-rêves)